L’aventure subaquatique commence
Tout en passant mes niveaux de pratique depuis un an, je me spécialise en biologie marine. Avec à la clé, j’espère, des collaborations journalistiques photo/rédaction.
Mais pas que sur la bio. Collaborer avec les rédactions sur les aspects techniques/matériel/effets biophysiques et biochimiques m’intéressent tout autant. Mais il est vrai qu’il est beaucoup plus facile et rapide d’apprendre et de comprendre ces aspects que de retrouver rapidement et de mémoire un spécimen dans l’arbre phylogénétique, de comprendre les enjeux des différents écosystèmes, etc.
Pour la photo, vous n’êtes pas près de voir mes réalisations pour la simple raison que la photo sous-marine coûte à peu près 3 fois plus cher que la photo terrestre (appareil + caisson étanche + flash). Ainsi, il faudra investir environ 1000 euros pour mettre sous l’eau un appareil photo numérique compact à 350 euros et sortir des photos correctes.
Ne vous fiez pas à l’aspect « mer des Caraïbes » de la photo. La température de l’eau ne dépassait pas 11 degrés, la visibilité était inférieure à 1 mètre et nous avions subi la veille un coup de vent assez impressionnant, à tel point que j’ai dû dormir avec les boules Quiès.